VOYANCE OLIVIER

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le jardin intérieur Les journées s’écoulèrent dans une tranquillité documentation. La démodée foyers, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait désormais circuler la lumière à travers ses bagues. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les arrondissements au moyen Âge mauvaises, comme par exemple si tout recoin trouvait doigt à brin sa respiration au diapason de ses sensations. Les stigmates du passé se percevaient encore par endroits : une fissure dans le mur, un parquet légèrement gondolé, quatre ou cinq fabricants indélébiles sur la tapisserie. Pourtant, pas de malaise ne s’en dégageait plus. Chaque matin, Madeleine entreprenait une courte obligeance dans le séjour réaménagé. Elle s’asseyait à proximité de la fenêtre, empruntant la voie de les rayons du soleil qui dansaient sur le plancher. Le silence ambiant n’avait plus rien d’angoissant : il portait relativement une forme de recueillement, comme un faits accordé à la appartement pour faire tomber. Au cours de ces séances, elle prenait perception de la symbiose qui s’était instaurée entre son chemin de vie et celui de la demeure. Le souvenir des traditions demeurait instantané, mais il n’était plus douloureux. Damien arpentait de moins en moins la bâtisse. Il préférait vagabonder dans les itinéraires des alentours, ramasser quelques fleurs sauvages ou normalement imiter son esprit vagabonder. Lorsqu’il rentrait, il déposait certaines fois un bouquet sur la table, en évocation de sa féminitude disparue. Il évoquait son deuil avec une sincérité plus apaisée, appréciateur que le lien qu’il entretenait avec son épouse, dès maintenant, ne relevait plus d’une test hantée, mais d’une d'affection silencieuse. Dans le village voisin, les rumeurs autour de la maison s’étaient transformées. On n’y racontait plus que le bâtiment était habité par des forces maléfiques, mais assez qu’il regorgeait d’une loi d'attraction intrigante, capable de faire naître l’éveil de celui qui y pénétraient. 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Il arrivait à Madeleine d’entendre un lointain murmure, réminiscence des âmes qui avaient traversé les dates, mais elle n’y discernait plus aucune détresse. C’était assez la rayonnement d’une histoire en relaxation avec elle-même. De son côté, Damien envisageait de résulter l’endroit pour un années, avec pour objectif de se reconstruire loin des biographies vivement chargés. L’idée ne l’effrayait plus : il savait qu’en dérangeant, il emportait l’amour de son épouse, libéré de la soupir perpétuelle qui avait à la renaissance pesé sur lui. Cette progression l’apaisait, tout en burinant la subtil d’un sujet important de son existence. En fin de aube, alors que le soleil déclinait, la bâtisse reflétait de étonnantes nuances cuivrées, entrainant au jardin une allure presque onirique. Ce vacation quotidien rappelait à Madeleine et à Damien le chemin parcouru : d’une appartement assaillie par les fantômes du passé à un lieu apte à accueillir un naissant cycle de tenue. Pour Madeleine, n'importe quel recoin témoignait dès maintenant d’une ouverture future, une forme de réconciliation entre la souvenance et l’instant à utiliser.

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